petite histoire d'un grand garçon pas très sage

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il y a 8 ans

les couches j'en mets depuis l'age de 7-8 ans déjà pour le plaisir. je sais plus trop pourquoi mais bon je sais que j'y trouve un certain réconfort, du plaisir. c'est un monde bien à moi que je partage avec peu de gens. A 20 ans apres 4 ou 5 ans d'abstinence, decouverte d'abk, et là bah je me suis tapé un kiff. whaou je n'étais pas seul. depuis j'en porte de temps en temps vraiment pas regulierement. voila ma petite histoire. PS: a un certain denis, merci de ta comprehension et de ta patience.

j'ai écris ça en réponse d'un post, d'où l'intro un peu abrupt

"ouais, moi aussi!

bon, je me suis fait griller qq fois. la première fois, limite, est compte pas. J'avais 13 piges. je piquais des couches droites trouvées dans le grenier, et des serviettes de ma mère. Un jour, ça lui a pris de vouloir ranger ma chambre. bon, je planquais les propres dans un tiroir et surtout...les autres dans un autre.

Pendant qu'elle semblait ranger et chercher quelque chose. J'attendais patiemment mais tout stressé. Elle les a enfin trouvé, et moi ensuite. grosse engueulade, pleurs, incompréhension... j'ai mis un moment avant d'en remettre.

La seconde fois, c'était vraiment plus bête encore. Je n'en mettais plus depuis longtemps, enfin tout est relatif. j'ai vraiment eu une période de plusieurs années sans. de 15 à 18 ans, j'en mettais vraiment bcp bcp moins voir pas du tout. Mais bon, il fait pas grand chose. je ne souviens plus exactement comment j'avais pu choper des pampers, les avoir mises, mouillées. En revanche, je me souviens bien que mes parents ont décidés de refaire ma chambre pendant mon absence. Comme d'hab, j'avais utilisé les dessus d'armoires comme planque. mauvaise pioche. cette fois-là, j'étais encore moins fier. Enfin, sans doute autant que la première fois, mais là, mon père était aussi de la partie. Quand je suis revenu le week-end suivant, bizarrement j'étais un peu malade. Ca m'a pas évité les enguelades à mon chevet. Ma mère, pour commencer et surtout mon père ensuite...plus que l'engueulade, je redoutais plus son jugement (bon qu'il s'était déjà fait) et son regard sur moi. Comme à son habitude, peu de mots mais des mots justes comme des poignards(en mousse). on avait jamais parlé cul ensemble, bon la c'est surtout lui qui m'a fait la leçon en me parlant de ceux qu'il avait trouvés. Enfin bref, il se sentait aussi con que moi, ou presque, c'est quand même qui me flanquait des couches sur les fesses! Après plus jamais reparlé, je devais avoir 18 ans. Je rentrais en fac.

Ces deux leçons ne m'ayant pas suffi... et à cause d'ABK! A 21 ans, je découvre ABK, alors que je n'en mettais plus depuis l'âge 15-16 sauf la fois ou je me suis fait griller a 18, autant dire que j'étais vacciné, et forcément ça matche. J'ai vraiment découvert ABK par hasard, mais dés que j'ai découvert que j'étais pas le seul taré à avoir voulu en mettre. Le lendemain, je fondais a la pharma la plus proche, bon mauvaise pioche pour une première sans doute pour faire durer le plaisir.

Ensuite, je suis devenu très téméraire. je ne m'en mettais pas tout le temps mais régulièrement. Un week-end, je suis revenu chez mes parents. Les fesses bien garnies, devant eux, la nuit... évidemment, j'en profitais pour faire mon sale gosse et les mouiller un peu, beaucoup. je les enlèves le dimanche matin, les flanques dans une armoire en me disant que les reprendraient le soir même, dans mon sac pour les bazarder ensuite. jusque là, tout est normal.

la journée passe. je fais mon sac. je prends mon train. j'étais paisible jusqu'au moment où je me souviens des couches oubliées dans mon armoire. Pensant les rembarquées le soir même, je les avais vraiment pas planquées. Avec une mère plus curieuse, j'ai tout de suite eu une montée de stress. je savais que ça tiendrait pas une semaine. j'ai imaginé revenir, mais avec quelles excuses?

Arrivé dans mon apart, je m'endormais avec l'espoir qu'elle ne trouverait rien. Bon bah, ça n'a même pas tenu deux jours. Le lundi, elle m'appelait. Heuu, quand j'ai vu que c'était le numéro de mes parents, je connaissais déjà le ton de la voix. gagné, après m'avoir décris sa découverte,elle m'a demandé des explications. problème médical, problème... évidemment, elle connaissait la réponse autant que moi... je lui ai dit que j'en avais remis pour essayer après un bizutage (je suis toujours très fort pour trouver des excuses a la con, mais crédible). Apres avoir craché sa valda, et se sentant aussi gêner que moi, on a raccroché. J'ai pas fier

le week-end suivant, elle rentrait dans ma chambre en otant ma couette pour voir si je cachais pas une couche sur mes fesses. Heureusement, je suis pas très malin, mais pas au point d'en remettre la fois suivante. D'ailleurs, je crois que depuis cette fois la, je ne suis jamais revenu chez mes parents en couche.

J'ai vécu la même chose...!
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